Adoption of participatory forest management has initiated the trend of transfer of access, management and control of forest resources from government to committee based institutions. Hence, understanding the institutional arrangements that support implementation of co-management with local forest organisations (LFOs), is crucial for sustainable forest management. This study therefore, examined the potential and contribution of institutional arrangements to sustainable forest management under co-management arrangement in Mtakataka, Malawi. The results show that while co-management has created new multi-level local forest organisations in the communities, the potential of the organisations to contribute to sustainable forest management has been negatively affected by lack of appropriate power and legitimacy. There are clear and well defined boundaries for the forest resources and communities involved in co-management of the forest reserve. However, co-management is faced with issues such as low participation of community members, ineffective rule enforcement, inadequate human and financial resources, and conflict of forest use. Despite these issues, it is concluded that with improvement in the co-management program, the local forest organisations have potential to achieve sustainable management of forest resources. It is thus recommended that the LFOs should be encouraged to follow what was jointly agreed upon and documented in the management plans. The management plans should also be regularly evaluated and effectively monitored for sustainable management and use of the forest products.

L'adoption de la gestion forestière en participation a initié le courant du transfert de l'accès, de la gestion et du contrôle des ressources du gouvernement aux institutions basées sur des comités. La compréhension des arrangements institutionnels soutenant la mise en exécution d'une gestion partagée avec les organisations forestières locales est par conséquent cruciale pour aboutir à une gestion forestière durable. Cette étude a donc examiné le potentiel et la contribution des arrangements institutionnels à une gestion forestière durable dans la gestion partagée amorcée dans le Mtakataka, au Malawi. Nos résultats montrent que, bien que la gestion partagée ait créé de nouvelles organisations locales à plusieurs niveaux dans les communautés ; le potentiel qu'ont ces organisations de contribuer à une gestion forestière durable a été affecté négativement par une carence de pouvoir et de légitimité appropriés. Il existe des délimitations clairement définies pour les ressources forestières et les communautés engagées dans la gestion partagée de la réserve forestière. Toutefois, cette gestion partagée fait face à des questions telles que la faible participation des membres de la communauté, une veille à l'exécution des règles inefficaces, des ressources humaines et financières inadéquates et des conflits quant à l'utilisation de la forêt. Malgré ces questions, nous concluons que les organisations forestières locales peuvent potentiellement parvenir à une gestion durable des ressources forestières, si le programme de gestion partagée est amélioré. Il est ainsi recommandé que les organisations forestières locales soient encouragées à suivre ce qui a été accepté par tous les partis et documenté dans les plans de gestion. Ces derniers devraient également être évalués régulièrement et surveillés efficacement pour assurer une utilisation et une gestion durable des produits forestiers.

La aprobación del manejo forestal participativo ha iniciado la tendencia de la transferencia del acceso, la gestión y el control de los recursos forestales del gobierno a instituciones basadas en comités. La comprensión de las disposiciones institucionales que apoyan la implementación de la cogestión con Organizaciones Forestales Locales (OFL) es por este motivo crucial para la ordenación forestal sostenible. Este